1 CD - 2506 SAN 78 - (c) 2003
6 CD's 2006 SAN 78 - (c) 2003
8 LP's - 2106 S 78 - (p) 1978

Pièces de Clavecin - Troisième et Quatrième Livres - Vol. II, 3/6 - (9/12)







François Couperin (1668-1733)






Pièces de Clavecin, Troisième Livre, 1722


Dix-huitième Ordre


- Allemande la Vermeuil 4' 05"

- La Verneuillette - Légèrement, et agréablement 1' 48"

- Sœur Monique - Tendrement, sans lenteur 3' 25"

- Le Turbulent - Très vite 2' 04"

- L'Attendrissante - Douloureusement 1' 52"

- Le Tic-Toc-Choc ou les Maillotins - Légèrement et marqué 2' 43"

- Le Gaillard boiteux - Dans le goût burlesque 3' 52"

Dix-neuvième Ordre


- Les Calotins et les Calotines ou la pièce à tretous - Gaiement 1' 30"

- Les Calotines - Très légèrement 2' 00"

- L'Ingénue - Naïvement / Tendrement 3' 28"

- L'Artiste - Modérément 4' 20"

- Les Culbutes Ixcxbxnxs - Légèrement, et marqué 3' 06"

- La Muse-Plantine 2' 28"

- L'Enjouée - Très gaiement / Un peu plus tendrement 2' 46"





Pièces de Clavecin, Quatrième Livre, 1730


Vingtième Ordre


- La Princesse Marie - Gracieusement, sans lenteur 1' 00"

- Seconde partie 1' 18"

- Air dans le goût polonais, Troisième partie - Vivement: les notes égales et marquées 1' 25"

- La Bouffonne - Gaillardement 2' 08"

- Les Chérubins ou l'aimable Lazure - Légèrement 2' 53"

- La Crouilli ou la Couperinète - Délicatement, sans vitesse 2' 40"

- Seconde partie dans le goût de Musette - Naïvement *
1' 17"

- La fine Madelon - Affectueusement 1' 47"

- La douce Janneton - Plus voluptueusement 1' 52"

- La Sézile - Gracieusement 2' 38"





 
Scott Ross, Clavecin (anonyme du XVIIIe siècle)
Jean-Louis Charbonnier, à la viole *
 






Luogo e data di registrazione
Château d'Assas, Hérault (France) - 1978

Registrazione: live / studio
studio

Producer / Engineer
Alain Villain / Henri Prunières / Bruno Menny

Prima Edizione originale CD
Stil - 2506 SAN 78 - (1 CD) - durata 59' 02" - (c) 2003 - AAD

Note
-













...insuffle de l'air pour; il n'en faut pas plus pour que tout revive, la poussière voltige, poudre d'or, les buis classiques disparaissent sous la poussée de la vegetazio autochtone qui ressemble à un éclat de rire... Dehors, c'était le grand jour, net et bleu du sud. L'odeur des pins, familière, déroutante; un vent, mistral, qui vraiment évente; parole vive, rieuse, aiguë. J'y reviendrai sans doute; on dit ici qu'il s'installe pour trois, six, neuf jours lorsqu'il souffle. Et, vous le savez, tout sur terre appartient aux princes hors le vent.
(Les lettres du château d'Assas. René Fouque © Stil, Paris 1978)