1 CD - 2207 SAN 77 - (c) 2003
6 CD's 1507 SAN 77 - (c) 2003
8 LP's - 1607 S 77 - (p) 1977

Pièces de Clavecin - Premier et Second Livres - Vol. I, 4/6 - (4/12)







François Couperin (1668-1733)






Pièces de Clavecin, Second Livre, 1716-1717


Sixième (continuazione)



- Les Barricades mystérieuses - Vivement 2' 39"

- Les Bergeries - Naïvement 4' 50"

- La Commère - Vivement 2' 18"

- Le Moucheron - Légèrement 2' 08"

Septième Ordre


- Le Ménetou - Gracieusement, sans lenteur 3' 51"

Les petits âges


- La Muse naissante 1' 56" |

- L'Enfantine 1' 57" |

- L'Adolescente 2' 32" |

- Les Délices 3' 40" |

- La Basque 2' 35"

- La Chazé - Très lié, sans lenteur 3' 55"

- Les Amusements - Sans lenteur 4' 15"





L'Art de toucher le Clavecin, 1717


- Sixième Prélude 1' 35"





Pièces de Clavecin, Second Livre, 1716-1717


Huitième Ordre


- La Raphaële 4' 10"

- Allemande l'Ausoniène - Légèrement et marqué 3' 15"

- Première Courante 1' 57"

- Seconde Courante 2' 51"

- Sarabande l'Unique - Gravement 2' 54"

- Gavotte - Tendrement 1' 31"





 
Scott Ross, Clavecin (anonyme du XVIIIe siècle)
 






Luogo e data di registrazione
Château d'Assas, Hérault (France) - 1977

Registrazione: live / studio
studio

Producer / Engineer
Alain Villain / Thomas Gallia (Sonart, Milan)


Prima Edizione originale CD
Stil - 2207 SAN 77 - (1 CD) - durata 54' 31" - (c) 2003 - AAD

Note
-













Les premières notes que j'ai entendues de Couperin ne m'ont guère eu l'air "dans le goût champétre". Scott Rossa avait rejoint la chapelle, séparée du château par les qualques mètres du jardin envahì par les hampes rigides, inquiétantes des fleurs d'acanthes. Si lontain pourtant, à cause du silence nécessaire. Relié à nous, dans la bibliothèque, par un cable, comme un scaphandrier. Seul, avec le clavecin que j'ai eu le temps de voir.
Son couvercle est orné d'une peinture (curieusement proche du tableau de Poussin, avec cette construction ronde, qui fume comme un monstrueux autel de sacrifices) représentant l'histoire d0Orphée et Eurydice. Tandis que le serpent tue Eurydice, qu'un monde s'écroule, là, Orphée chante devant les hommes et le bêtes ébahis, émerveillés.

(Les lettres du château d'Assas. René Fouque © Stil, Paris 1978)