1 CD - 1807 SAN 77 - (c) 2003
6 CD's 1507 SAN 77 - (c) 2003
8 LP's - 1607 S 77 - (p) 1977

Pièces de Clavecin - Premier et Second Livres - Vol. I, 2/6 - (2/12)







François Couperin (1668-1733)






Pièces de Clavecin, Premier Livre, 1713


Second Ordre (continuazione)



- La Terpsichore - Modérément, et marqué 3' 14"

- La Florentine - D'une légéreté tendre 2' 13"

- La Gannier - Modérément 3' 08"

- La Babel - Nonchalemment / Un peu vivement 2' 15"

- Les Idées Heureuses - Tendrement, sans lenteur 3' 53"

- La Mimi - Affectueusement 1' 52"

- La Diligente - Légèrement 3' 05"

- La Flatteuse - Affectueusement 1' 52"

- La Voluptueuse - Tendrement 3' 08"

- Les Papillons - Très légèrement 1' 24"

- Les Sentiments, Sarabvande - Trés tendrement 2' 11"





L'Art de toucher le Clavecin, 1717


- Premier Prélude 1' 05"





Pièces de Clavecin, Premier Livre, 1713


Troisième Ordre


- La Tènébreuse, Allemenade 4' 18"

- Première Courante 1' 39"

- Seconde Courante 2' 15"

- La Lugubre, Sarabande 2' 10"

- Gavotte 1' 11"

- Menuet
1' 22"


Les Pélerines


- La Marche - Gaiement 2' 13" |

- La Caristade - Tendrement 0' 55" |

- Le Remerciement - Légérement 1' 10" |

- L'Espagnolète - D'une légèreté modérér 1' 42"

- Les Regrets - Languissament 3' 03"

- Les Matelotes Provençales - Gaiement 2' 37"

- La Favorite, Chaconne à deux temps - Gravement, sans lenteur 5' 39"

- La Lutine - Très vivement, et maequé 2' 15"





L'Art de toucher le Clavecin, 1717


- Quatrième Prélude 1' 36"





Pièces de Clavecin, Premier Livre, 1713


Quatrième Ordre


- La Marche des Gris-Vêtus - Pesamment, sans lenteur 2' 48"





 
Scott Ross, Clavecin (anonyme du XVIIIe siècle)
 






Luogo e data di registrazione
Château d'Assas, Hérault (France) - 1977

Registrazione: live / studio
studio

Producer / Engineer
Alain Villain / Thomas Gallia (Sonart, Milan)


Prima Edizione originale CD
Stil - 1807 SAN 77 - (1 CD) - durata 68' 16" - (c) 2003 - AAD

Note
-













Le château d'Assas, épargné par les révolutionnaires, mais symboliquement détruit (armoiries martelées, tours en partie découronnées) et revivant, parmi cette nappe de sons, ces courants... dominants, "très grands vents à l'œuvre parmi nous", gagnant tout an alentour qui n'avait rien à voir avec cette musique (ou alors dans une très lontaine portion de mémoire). Rêve de pérennité, "de hautes pierres dans le vent occuperaient encore notre silence".
(Les lettres du château d'Assas. René Fouque © Stil, Paris 1978)